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La personne âgée,

douleur et fin de vie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Détente

  • Appréhension de la douleur et libération des tensions physiques

  • Renforcement des défenses naturelles

  • Aide à la motricité et à l’autonomie

  • Redécouverte et reconquête de son corps

  • Meilleure acceptation des changements de son corps

  • Renforcement du schéma corporel

  • Volonté de vivre

  • Meilleure image de soi

  • Libération des tensions mentales

  • Diminution de l’anxiété

  • Augmentation de la confiance en soi

  • Meilleure qualité du sommeil

  • Amélioration de la concentration et de la mémorisation

  • Amélioration du moral

  • Soutenir et encourager le lien social

  • Stimulation de l’appétit

 

L’image de soi se dégradant avec l’âge, progressivement la personne se détache du regard qu’elle peut poser sur son corps. Il y a alors un risque de renoncement et de repli sur soi. La passivité s’installe et la personne âgée s’exclut lentement du monde qui l’entoure.

 

La sophrologie permet de prévenir cet engrenage. Elle renforce et autorise le bien-être physique et mental et, permet à chacun de se sentir vivant!

Les bienfaits apportés :

Gestion de la Douleur

 

Qu’est ce que la douleur ? La douleur est une sensation complexe, à la fois physique et émotionnelle.

 

Elle se traduit par :

 

  • Une sensation physique, caractérisée par sa localisation, son intensité et son évolution: « ça pique, ça brûle, ça fait un peu ou très mal, ça augmente ou ça diminue ».

  • Une émotion qui correspond à ce que nous ressentons moralement.

  • Un comportement, qui correspond à notre manière de réagir à la douleur, de l’exprimer par le corps ou par la parole.

  • Une réaction mentale, qui correspond à notre façon de la gérer, de chercher à l’oublier ou à vivre avec.

 

Ces quatre aspects sont indissociables. Pour comprendre et soulager la douleur, il faut donc prendre en compte sa cause physique, mais aussi et surtout ce que la personne ressent, physiquement et moralement.

 

Des axes de travail peuvent être proposés:

 

  • Observation du corps

  • Retourner le regard vers l’intérieur

  • Etre témoin de sa réalité objective

  • Perception du schéma corporel

  • Observation des tensions, limites, inconforts, latéralités

  • Accueillir ce qui est là

  • Relaxation profonde

  • Accueil des perceptions sensorielles

  • Formulation positive d’objectifs immédiats

La fin de vie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le travail du Sophrologue est d’être à l’écoute, d’essayer de savoir si la personne connaît la vérité sur son état.

Les priorités dans les services de soins palliatifs sont de discuter, d’échanger, d’aider. 

 

Lors d’une séance de sophrologie le positif du passé peut aider mais c’est à la personne de proposer de  « travailler »  sur sa vie. 

Il y a parfois une pauvreté au niveau des échanges face à sa mort.

 

Lors des séances de sophrologie, la présence d’un proche est envisageable. La présence d’un être cher peut être importante. 

Respirer, parler de ce qu’il a aimé, évoquer des images agréables, sublimer avec des mots simples.

 

 

Quel travail?

 

 

 

Le cas de la sophrologie en soins palliatifs

 

Une personne est anxieuse lorsqu’elle est proche de la mort.

Elle a peur de la douleur, de l’inconnu, elle est dans une profonde angoisse et a peur pour ses proches qui sont désemparés. La personne a peur de mourir.

Elle malade est démunie, impuissante,  culpabilise, la tristesse est omniprésente, est ennuyé, abattue, épuisée. Difficile d’imaginer que la relation (conjugale, amicale, affective…) ne bascule pas quand l’un des deux tombe malade. Lorsqu’un malade n’a aucune croyance, c’est souvent plus difficile.

Chacun a sa propre image de l’éternité, image de la vie après la mort…

 

  • 1 à 2 séances par semaine de 30 mn à 1 h suivant les capacités.

 

  • Un travail sur les sens (odorat, goût, vue, toucher, ouïe),  sur les couleurs, les sons, les rires, la musique sont également  évoqués dans les techniques.

 

  • En parallèle, est mis en place un travail complémentaire indispensable avec le personnel soignant médicalisé.

 

  • Il est important que le sophrologue ne soit pas un personnel médical, (infirmière, psy, …).

 

  • La personne doit se sentir vivante jusqu’au bout.

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter.

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Isabelle Blain

06 23 45 88 68

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